Un peu d'étude [SUJET TERMINÉ - SUITE DANS LA COURS]

Aujourd'hui c'est congé, il pleut des cordes et personne ne sort, la place publique est donc vide. Comme Mélodya n'avait pas envie de rester là-bas à se faire mouiller pour rien, place publique déserte égale pas d'argent à faire c'est clair, elle a décidé de se rendre à la bibliothèque pour étudier un peu. Mélodya adore la bibliothèque c'est un bon endroit pour avoir le calme et être seule, puisqu'il y a rarement des gens qui y vont. De plus, Mélodya aime la lecture, elle lit souvent des ouvrages sur les arts (peinture, cirque, sculpture,) ou la musique.
C'est donc en cet après-midi pluvieux que Mélodya se rendit au palais royale et entra dans la grande bibliothèque. Comme à son habitude, la première chose que la jeune fille fait est aller errer dans les allées de livres. Elle marche lentement et regarde autour d'elle à la recherche de quelque chose de nouveau et d'intéressant. Mélodya se trouve dans la section astronomie, une autre chose qui la passione, elle ne comprend pas pourquoi au pensionnat ils ne leur enseigne pas cette matière si passionante, mais ça ne l'empêche pas de se rendre à la bibliothèque et de lire des ouvrages sur le sujet. Elle regarde ces grandes étagères qui se trouvent de chaque côté d'elle et lit les titres des ouvrages qui s'y trouve distraitement. Elle se rend dans la section artistique de la bibliothèque et se plante devant un étagère d'où elle sort un pais livre, on peut lire sur la couverture : Peinture et Sculpture , des artistes vous dévoilent leurs secrets. Ce livre, Mélodya le connait bien, c'est des artistes qui ont décider de publier leur oeuvres ou des croquis dans le cas des sculpures et d'écrire comment ils se sont pris pour les créés. Mélodya adore ce livre puisque les oeuvres qui y sont présentée sont magnifiques (à ses yeux) puis elle peut aprendre à sculpter et peinturer.
Munie de son livre, Mélodya va s'assoir à une petite table ronde en bois où se trouve deux chaises, Mélodya s'assit toujours à cette place et il y a une raison : la table est devant une fenêtre qui donne une magnifique vue sur le village. Mélodya s'assit donc à sa place habituelle, dépose le livre sur la table et se tourne vers la fenêtre. C'est une autre raison pourquoi elle aime tant la bibliothèque, elle peut penser librement sans être déranger par les autres. Mélodya adore regarder le paysage et se laisser emporter par ses pensées. La jeune fille admire donc le paysage et elle commence à penser à toute sorte de chose dont sa famille, ses parents, cette pensée revient constamment la hantée, mais dans un endroit où elle est sure de ne pas être dérangée, Mélodya laisse ses souvenirs resurgir sans crainte, car elle sait que personne ne viendra la dérangée.

Une journée de pluie au royaume, tout est calme, les gens ne sortent pas lorsqu'il pleut. Ils préfèrent rester dans le confort de leur demeure et Mathieu les comprend. Il est resté tout l'avant midi dans les quartier des servants à errer et parler avec les autres serviteurs. Maintenant il s'ennuit un peu et à décider de faire le tour du palais. Après avoir fait le tour de l'aille des servants et du hall, il a décider de monter afin d'errer dans les couloirs du palais. Il marche sans but précis, regarde les statuts dans les grands couloirs qui le fixe, le suivent du regard, puis il s'arrête devant la bibliothèque. Cet endroit, il n'y va pas souvent, mais aujourd'hui quelque chose retient son attention, et cette chose est en fait une personne, une jeune fille aux cheveux blancs assise près de la fenêtre. Mathieu ne connait pas beaucoup de jeune fille aux cheveux blancs et encore moins de jeunes filles habillées de cette façon. Un regard à suffit pour reconnaitre de qui il s'agissait, ce n'était pas la première fois qu'il la voyait dans la bibliothèque, mais sans savoir pourquoi il n'avait jamais osé l'approchée, même s'il brûle d'envit de la revoir. C'est sans doute les remords, il s'en veut toujours de l'avoir laissée seule dans la misère alors que lui vit une vie de roi. Elle était tournée vers la fenêtre, elle devait surment réfléchir.

* Je ne peux quand même pas la déranger dans ses réflexions*

Encore des excuses, pourquoi l'éviter, elle est seule dans cette bibliothèque c'est le moment où jamais de lui parler. Mathieu rassemble donc son courage et entre dans la bibliothèque, il se dirige d'un pas décider vers la jeune fille, mais à quelques centimètres d'elle il rebrousse chemin et va se réfugier dans une allée.

* C'est quoi ton problème elle a dit qu'elle était d'accord, c'est même elle qui a insistée pour que tu acceptes cette offre alors arrête de faire le bébé et va la voir ! *

Mathieu et sa manie de se faire la morale, il ne change pas. Mathieu décide de s'écouter de sort de son allée, il va vers la jeune fille, s'assoit en face d'elle. Elle n'a aucune réaction, mais il attend en silence qu'elle le remarque, il sait qu'elle déteste se faire déranger lorsqu'elle réfléchit.

Une femme, un homme et une jeune fille sont assis près d'un feu. Ils sont dans une clairière, c'est le crépuscule. La jeune fille, c'est Mélodya et les deux autres sont ses parents. Le père de Mélodya, comme après chaque repas, raconte des blagues, ça détend l'atmosphère surtout avec la guerre ces temps-ci. Mélodya est assise et elle l'écoute attentivement, elle aime lorsqu'il raconte des blagues, son père la fait toujours rire. La mère de la jeune fille est assise à côté de cette dernière et elle rit aux éclats, le rire de sa mère est tellement magnifique, Mélodya est très contente d'en avoir hérité. Puis le père de Mélodya se lève et commence à chanter, un autre talent de son père que Mélodya admire. Il chante et les autres commencent à danser, Mélodya et sa mère se joignent à la danse puis ...

Mélodya est tirée de sa rêveries par une présence près d'elle. Elle fixe toujours la fenêtre, mais quelqu'un est assis en face d'elle. Qui ça peut bien être ? Mélodya se dépêche de reprendre ses esprits et d'effacer ses souvenirs qui la font tant souffrir puis elle se tourne vers la personne qui est en face d'elle. La personne qu'elle voit la laisse complètement surprise.

- Mathieu, qu'est-ce .. qu'est-ce que tu fais ici ?

Bon d'accord Mathieu habitais le palais royal, mais Mélodya ne l'avait jamais croisé en deux ans. En fait, elle en était même venue à penser qu'il s'enfuyait d'elle, mais en même temps elle comprenait qu'il était très occupé, divertir la famille royale c'est un travail qui demande beaucoup de temps c'est qu'ils sont exigent les gens de la monarchie. Mais maintenant qu'il était là devant elle , elle était surprise et très contente. Enfin quelqu'un de censer avec qui parler, c'est que les autres élèves du pensionnat n'aiment pas trop les amuseurs publics sans avenir, alors pouvoir parler avec quelqu'un qui la comprend c'est tout ce que Mélodya pouvait bien demander.

Mathieu fut surprit par la réaction de Mélodya, elle devait être sous le choc d'avoir été dérangée pendant qu'elle pensait. Ou bien peut-être qu'elle croyait que Mathieu ne voulait plus rien savoir d'elle, depuis qu'il avait abandonné Mélodya, Mathieu ne pouvait s'empêcher de s'en vouloir et d'imaginer qu'elle lui en voualit aussi. Bien sûr Mélodya lui avait dit d'accepter, mais elle est toujours prête à sacrifier son bonheur pour celui des autres.

*Matt arrête de t'inventé des histoires ça fait deux ans que vous ne vous êtes pas vus elle doit être contente. Sa surprise doit être joyeuse penses-tu vraiment que la fille avec qui tu as grandi te détesterais pour avoir réaliser ton rêve.. franchement*

Il est vrai que se raisonner sois même à parfois des bons côté, comme maintenant c'est vrai quoi , Mélodya ne pouvait pas lui en vouloir elle comprenait qu'il était occupé, même si ses vrais motivations était la peur. Après ce qui lui parut un temps infini à penser, Mathieu fini répondre.

- Bah qu'est-ce que tu crois que je fais .. Je viens voir ma petite vagabone préférée.

Mathieu sourit, il savait que le terme vagabonde ne dérangeait pas du tout Mélodya, en fait il l'appelait toujours comme ça et bon ce n'est pas parce que Mélodya vit au pensionnat qu'il allait arrêter ce petit surnom. Mathieu ne pouvait s'empêcher de trouver Mélodya étrange, elle avait l'air triste.

-Ça va ? t'as pas l'air bien .. j'te déranges ?

Bon c'était plus que stupide comme réflexion, mais Mélodya le connait depuis longtemps, elle est habituée aux choses étranges qu'il dit. Et comme lui aussi la connait il sait qu'elle n'aime pas parler de ses émotions, elle préfère faire comme si tout allait bien, mais il sait quand quelque chose ne va pas même si elle tente de lui cacher.

Mélodya était encore perturbée par les pensés qui venaient de resurgir en elle, mais elle eu un vague sourir lorsque Mathieu l'appella ''sa petite vagabonde'', ça faisait tellement longtemps qu'elle ne s'était pas fait appelée comme ça. Il n'y avait que Mathieu qui lui disait ça et elle adorait ce surnom, après tout elle était vraiment vagabonde, bien que maintenant elle vive au pensionnat, mais elle adorait tout de même vivre dans les rues, les hangards, elle a toujours connu ça et elle est faite pour cette vie.
Mélodya croyait que la présence de Mathieu lui ferait du bien, mais il faisait resurgir tellement de souvenir en elle. Elle ne pouvait enlever l'image de ses parents de sa tête, elle les revoyaient dansant autour du feu, riant, ils étaient tellement bien, tellement heureux, tellement en vie ...
La voix de Mathieu la tira de sa rêvesserie

-Ça va ? t'as pas l'air bien .. j'te déranges ?

Mélodya s'efforça de sourir au jeune homme et lui répondit

- Non tu me déranges pas au contraire ! Ça fait tellement longtemps qu'on s'est pas vu.

Changer de sujet, c'est tout ce que Mélodya désire. Oublier, tout effacer et recommencer sa vie sans penser à sa famille, en fait elle ne sait même pas pourquoi ces souvenirs obscurs sont ressorti aujourd'hui au moment précis où Mathieu se décide à réapparaître dans sa vie. Des fois Mélodya trouve que la vie fait drôlement les choses, comme si elle voulait que certaines choses se produisent à un certain moment. Ne sachant plus quoi faire pour chasser ses images, Mélodya détourna le regard et se mit à observer la bibliothèque, comme d'habitude il n'y avait personne que des tables et des chaises vides, des rangées avec des hautes étagères et pleins de livres. Plein d'objets ici comme abandonnés, peu de gens venaient dans la bibliothèque, Mélodya le savait et c'est pourquoi elle adorait cet endroit. C'est à peu près le seul endroit où elle pouvait avoir la paix sans que personne ne fasse de commentaire ou la dérange. En fait habituellement, mais Mathieu ne dérange pas Mélodya au contraire elle a tant de fois espérée le croiser ici et son voeu se réalise aujourd'hui. Malheuresement elle a la tête ailleurs. Après quelques instants, Mélodya repose son regard sur Mathieu et lui demanda.

- Qu'est-ce que tu deviens toi ? C'est amusant vivre au palais ?

- Non tu me déranges pas au contraire ! Ça fait tellement longtemps qu'on s'est pas vu.

Cette réponse aurait pue semblée confirmée que Mélodya allait bien, mais Mathieu savait que ce n'était pas le cas, car tout de suite après avoir dit cette phrase Mélodya a détournée le regard et ça c'est signe qu'elle a la tête ailleur Mathieu le sait. Mais il ne veut pas intérrompre les pensées de la jeune fille, il préfère attendre qu'elle lui parle, Mathieu n'a jamais été dur genre à obliger les gens à lui parler, même Mélodya il attend patiement qu'elle repose son attention sur lui. Durant ce temps, Mathieu observe Mélodya, elle n'a pas changer depuis la dernières fois qu'il l'a vu toujours bien habillée malgrés qu'elle confectionne ses vêtements avec des guenilles, ses cheveux bien peignés, décidement Mélodya adore bien paraitre et ça ne changera jamais. La seule chose qui est différent chez la jeune fille est son regard, contraire aux dernières fois que Mathieu a observer Mélodya dans la bibliothèque son regard est sombre et ça inquiète Mathieu. Mélodya n'est pas le genre de fille à se plaindre elle est toujours de bonne humeur habituellement alors cette tristesse dans son regard est asser troublante.
Lorsque Mélodya repose enfin son attention sur Mathieu elle lui demande ce qu'iol devient. Elle tente de changer le sujet pour éviter de parler de ses problèmes. C'est un bel essai, mais Mathieu ne lâchera pas l'affaire aussi facilement. Il commence par répondre à la question de Mélodya.

- Et bien je dirais que la vie au palais est .. divertissante, il y a toujours quelque chose à faire, des gens à observer on s'ennuie rarement ici.

Bon maintenant la question réglée il est temps de passer aux choses sérieuse et de confronté Mélodya une fois pour toute. Mathieu ne peut pas supporter de la voir is lointaine il doit savoir ce qui se passe dans sa tête.

- Bon maintenant arrête d'éviter le sujet je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Pourquoi t'es is distante aujourd'hui ? À quoi tu penses ?

Pas très discret, mais c'est la seule façon de la faire parler. Mélodya déteste parler d'elle et encore plus de ses sentiments, il faut la confronter sinon on n'obtiendra jamais de réponse de sa part.

La question de Mathieu déstabilisa un peu Mélodya, elle ne croyait pas avoir l'air si lunatique. Quoi que Mathieu la connait depuis toujours, elle ne peut rien lui cacher. Par contre, sans savoir pourquoi elle avait peur de dire à Mathieu ce à quoi elle pensait réellement, après tout ça faisait deux ans et depuis qu'ils s'étaient installés au village Mélodya et Mathieu n'avaient pas reparler de la troupe ou de leur parents. C'était un sujet que tous les deux préféraient ne pas aborder, en tout cas que Mélodya pour sa part préférait ne pas aborder. Parler de sa famille lui rappelle trop de bons souvenirs, le temps où tout était parfait où rien n'avait d'importance, pas d'école, pas de jugements, que des artistes qui s'amusent et vivent ensemble. Mélodya donnerait tellement tout pour retourner à ce temps où sa famille était près d'elle ou elle et Mathieu trainaient toujours ensemble, le bon vieux temps quoi. Mais en même temps elle se trouvent stupide de restée accrochée à ces vieux souvenir, elle sait bien trop que dans la vie il faut avancer sans regarder en arrière, mais c'est tellement difficile.
Mélodya réalisa qu'elle était encore une fois perdue dans ses pensées, Mathieu l'observait. Et bien, à quoi bon mentir ça ne va mener à rien en plus qu'y a-t-il de mal dans le fait que sa famille lui manque. Mélodya se décida donc enfin à dire à Mathieu ce dont elle évitait de penser depuis tellement longtemps.

- C'est juste que j'sais pas pourquoi, mais les souvenirs de la troupe me sont revenus. Je sais que d'habitude j'aime pas pensé à ça, mais j'peux pas m'en empêcher . J'aimerais tellement juste ... retournée dans ce temps !

Bon ça y est c'était dit. Ça enlevait un peu de poid, mais pas tant que ça, les souvenirs eux restaient et Mélodya ne pouvait tout simplement pas les effacer, elle devait apprendre à vivre avec ces souvenirs douleureux. Mélodya détourna le regard, oui elle avait honte de penser à ça, de se faire souffrir pour des choses qu'elle ne peut pas changer. Même si elle y pense touts les jours qu'elle ne vit que pour retrouver sa famille, ça n'arrivera pas. Après quelques instants à contempler la cours royale noyée sous les déluges de la pluie Mélodya dit sans regarder Mathieu.

-Je sais c'est stupide de me faire tant de mal pour quelque chose que je ne peux contrôler ...

Mélodya est incapable d'accepter d'avoir des sentiments négatifs, elle doit toujours se justifier et elle ne changera probablement jamais. C'est pour cette raison qu'elle évite de regarder Mathieu, elle ne veut pas voir sa réaction, car elle saura tout de suite ce qu'il pense et elle en a déjà asser avec ses propres jugements sans ajouter celui des autres.

La troupe, Mathieu aurait dût s'en douter. Même si Mélodya a toujours fait comme si elle allait bien, Mathieu sait qu'elle a été beaucoup affectée, la troupe est tout ce qu'elle a connue, tout comme lui. Mathieu est bien placé pour la comprendre il pense souvent à la troupe, mais comme il est plutôt solitaire et toujours un peu lunatique il est rare que les gens s'aperçoivent que quelque chose cloche avec lui. Bien que la réponde de Mélodya étonna quelque peu Mathieu, le fait qu'elle dit que c'était stupide de se faire tant de mal pour des trucs qu'on ne peu contrôler ne l'étonna pas du tout. Mélodya croit toujours qu'elle doit être plus forte que les autres, ne pas montrer ses émotions, Mathieu le sait et il sait aussi que c'est très mauvais pour elle. Elle garde tellement tout à l'intérieur qu'elle fini par s'empoisonner la vie avec tous ses problèmes. Mathieu regarde Mélodya qui évite toujours son regard et lui dit.

-Mya arrête de dire des conneries tu sais que c'est pas stupide, c'est juste normal de penser à ta famille. Tu sais j'y pense souvent aussi, je sais bien qu'on peut pas changer le passé, mais rien nous empêche de nous rappeler les bons moments non ?

Il sait bien que Mya ne sera pas capable d'accepter cette réponse, mais au moins il tente de la réconforter, c'est mieu que rien. Mathieu regarde vers la fenêtre, il semble que la pluie se soit arrêtée, les gens commencent à sortir dans le village. Voilà une bonne occasion de changer un peu les idées à son amie. Mathieu se lève et se dirige vers Mélodya, qui ne détourne pas le regard de la fenêtre. Il se rend à sa hauteur et l'oblige a le regarder. En souriant il lui dit.

-La pluie s'est arrêtée pourquoi on ne va pas dehors histoire de se changer les idées ? Je crois qu'on a beaucoup de choses à se raconter non ?

Changer d'air va faire le plus grand bien Mélodya. De plus, il est vrai qu'ils ont beaucoup de choses à se dire en deux ans il s'en passe des choses. Ils doivent rattraper le temps perdus. Sans même attendre la réponse de son amie, Mathieu prend le bras de Mélodya et la force à le suivre jusqu'en dehors de la bibliothèque.

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